995. Thomas Fersen, Le jour du poisson, 1997 | BV

 


 

Fersen a indéniablement des qualités d’auteur-compositeur-interprète, et elles se révèlent dans cet album, le plus abouti, à mon sens, même plus abouti que les suivants, sans doute un peu trop produits. Longtemps disséqué, il accompagne gentiment. On regrette deux choses : un peu moins de monde fantaisiste et un peu plus de nerf, peut-être, mais ce n’est pas sûr.