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Cette chronique vaut pour le volume deux de cette série (qui jusqu’ici est le dernier), mais également pour le premier, éventuellement à peine moins bon. Le maître platiniste Carl Cox ne mixe pas seulement des samples habilement choisis, il propose littéralement des variations de grands classiques house et techno de, entre autres, Death in Vegas, Underworld, Orbiters, etc.
Aussi ingénieux qu’intelligent, Carl Cox, avec bonhommie, distille cette musique de manière relativement imparable. Avec un je-ne-sais-quoi de parfum des années quatre-vingt-dix et leurs soirées acides…