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‘‘ Quelle ombre sort de la nuit ? ’’ | Daniel Dobbels & Carole Quettier

Quelle ombre sort de la nuit ?
Daniel Dobbels | Carole Quettier
Performance effectuée au Cyclone le studio les samedi 28 et dimanche 29 mai 2022

« Je ne danse pas pour que l’on m’attende », dit, dans ses « Cahiers », Nijinski. Mais des danses peuvent attendre, patienter, vivre de souffles presque éteints et, sans s’y attendre, se voir ouvrir un espace, se conjuguer un temps propre à les accueillir, une porte se déverrouiller qui les enjoint à respirer en prenant corps – un corps, toujours, vient vers elles et en incarne l’âme, passant de la liasse à la liesse – et à « rappeler » au jour leurs écritures passées. Peut-être ne danse-t-on (rives et étranges bordures des danses) que lorsque les êtres semblent au plus loin, sont déjà au plus loin, très loin devant, en avant ou retirés dans leurs plus secrets abris ? Peut-être est-ce l’un des secrets et la pudeur la plus réfléchie de la danse : se « produire » hors de toute attente, conjurant ainsi ce qui demeurerait « déceptif », décevant, indifférent dans le cœur de toute attente ? Avertie qu’elle serait, étant née sans origines et comme telle orpheline, qu’un rapport trop greffé (noté par un greffier anonyme) aux lois d’un temps administré se révélerait n’être qu’un échafaud d’âges, nécessairement meurtris.
Détente mais non détention ! le « moindre geste » – pour reprendre ici une expression sans prix de Deligny – y trouve sa chance, son élan, son infime et même infirme liberté : l’une s’étend, l’autre s’appuie sur un point non contrôlé et s’accorde des sorties, de nuit comme de jour.
L’ œuvre de Schönberg en a descellé les gonds et desserré les compressions (du moins a-t-elle tout tenté en ce sens). Sortir est aussi périlleux que d’entrer dans un ordre. Une vie s’y joue qui ne sait pas et cherche une vision qui n’aveuglerait pas ses « sens ».
Olivier Revault d’ Allonnes, dans son livre, « Aimer Schoenberg » décrit et ana- lyse de façon bouleversante le mouvement inouï qui conduit et hante Les six petites pièces pour piano, opus 19 de Schönberg : « (…) Lorsqu’il écrit cette pièce – on ne peut pas dire qu’il la compose : il la pose, tout au plus – Schönberg revient des obsèques de Gustav Mahler ; il veut faire entendre, entre « piano » et un quadruple pianissimo final, et « très lentement », quelque chose qui pourrait passer comme un ultime hommage à Mahler, un minuscule « collage », un infime « pot-pourri » qui, comme la vie même du maître disparu, se ter- mine « ein Hauch », comme une haleine, comme une buée, comme un souffle sur un la bémol à peine audible » (Bourgois, p.60).
Ce « pot-pourri » (l’expression vient peut-être d’Adorno) est à entendre comme un ineffable sans fin. Un ensorcellement vague en remue les fonds et les em- pêche de tourner à l’aigre.
Se donne là, on pourrait l’imaginer et tenter de s’y fier, la tonalité de ces deux journées que nous a offertes Patrick Sandrin, dans le cadre si singulier du « Cyclone » : une haleine, un souffle volé au pire, des œuvres et des noms n’ayant cédé sur rien, hantés seulement par le fait que le dernier des souffles soit repoussé… que « l’accord parfait » se voit déplacé et, pour des raisons vitales, refusé ou différé… Schönberg, Kagel, Coltrane, Dylan… procède-t- on à un « collage » en associant ces auteurs en une sorte de programmation subjective ? Entre l’exhalaison et l’exaltation des noces se nouent, inattendues, imprévues mais ayant le pouvoir d’accorder des échos et des résonances là où les champs semblent désertés. Dans It’s all right, Ma, Dylan chante en fin de refrain : « So don’t fear if you hear a foreign sound to your ear, it’all right ma, I’m only sighing…”
“To sigh” est en anglais plus modulé et fluide que soupirer en français… mais ce qui s’y suggère de vertige et d’extrême, entre langues et langages, appelle en silence des Ponts… dont la parole et la danse ont aussi l’obsession.
Paris, le 28 mai 2022

Le 28 mai 2016 : « Il y a cinq ans, jour pour jour, nous avions pensé cette offre avec les mots qui suivent. Ils sont sans oubli et signent une fidélité qu’aucune circonstance ne pourrait effacer. » :
« (Texte de 2016)

Daniel Dobbels

CHORÉGRAPHIER/ÉCRIRE ?

Le lien se fait-il ? Se laisse-t-il lire ou voir ? Ou juste pressentir ?
Ou bien ne doit-il ni être noué ni dénoué ?
Cette « carte blanche » offerte par Patrick Sandrin ne déplie peut-être qu’une segmentaire plage de temps, d’autres « coins » restant enfoncés dans l’espace, fermés comme des angles qui pourraient, une autre fois, s’ouvrir et laisser transparaître une lueur d’existence passée, battante comme l’un de ces cœurs qui se sont croisés sans se fondre dans le strict silence.

Certains pourront s’y attarder, s’ils le veulent, à leur rythme et à leur pas; d’autres ne feront que la longer, émaillant leur parcours de quelques brefs regards veillant à ce que la distance demeure et ne soit pas rompue : la ligne d’attrait ou d’attraction (qui n’est pas d’horizon) dessinant dans son tremblement un monde d’apparitions qui semble obstinément se tenir par ailleurs, plus loin ou plus profond, plus réel et plus intime. Attente que rien ne saurait désavouer et qui s’impose intermittente et sans conteste. Un visi- teur (un invité) est plus libre de cours qu’un spectateur. Et la carte, blanche, fait d’abord signe d’une invitation, n’exigeant pas, par essence, de répondre, encore moins de faire preuve. Le temps qui passe (ou passé) laisse encore une faible marge où chacun a le choix de se dire : «Je veux bien y passer et y faire passer un peu de mon temps».

Quelques heures donc. Pour indiquer, rappeler ou suggérer quelques voies empruntées, certaines suivies, d’autres suspendues ou abandonnées. Sont- elle aimantées par un même souci (une seule obsession) ou ne sont-elles qu’esquissées, juste amorcées avant qu’un spectre s’en fasse l’hôte et l’occupant ? L’équation de Marcel Duchamp (peut-être héritée de Joyce) ne cesse jamais de flotter étrangement, inscrite comme des lettres chiffrées dans un espace aléatoire où rien ne brille ni ne s’éteint absolument. « A Guest + A Host = A Ghost ». Stance d’une instance joueuse ? Stase d’un jeu instable ne bénéficiant même pas de ce plan et de ce support qu’est l’échiquier où l’on déplace les pièces et réduit leurs marges de mouvements aux règles de la victoire, de la défaite ou du mat.

Chorégraphier n’est-il pas l’art d’éviter tous les pièges que les calculs et les contingences d’une existence dressent comme au-devant du corps pour qu’il s’y heurte et en soit stupéfié ? Une écriture, hantée par le temps perdu, par le temps qui se perd, n’essaie-t-elle pas, même en ayant recours à la ma- gie, de plier l’objet qui fait obstacle ou de courber le plan indéfini qui érige le vide comme un mur ou une dalle séchée… et de se promettre un autre corps pour passer corps et âme non pas de l’autre côté mais dans une zone de pures proximités, non pas rivales mais riveraines les unes des autres ?

Zone d’existence à laquelle le moindre geste rêve pour y composer des suites d’instants que l’enfer ne saurait condamner. Brèves épiphanies, secrètes illuminations, incertaines du temps qui prétendrait les accueillir, les recueillir et les transformer en forces utiles, pour en forcer les sens.

Le corps ne porte peut-être sur soi que ce désir de rayer la lumière sans la blesser, de faire entrevoir son propre rayonnement non meurtrier (ni soleil trop intense, ni braise de cendres noires). Serait-ce le vœu à peine émis, jamais prononcé, de cette présence, si peu sûre d’elle-même, de ces deux corps se silhouettant dans la lumière blanche de la Synagogue de Delme, lumière brûlée et intacte où l’absence est entière, où le jour est sans appels, sans aubes glaciales, sans mémoires à détruire ?

L’écriture ne chercherait-elle pas cette levée de temps où un corps viendrait vers elle, rayonnant mais veillant sur le sens de « gestes inapparents», suivant l’expression d’Egon Schiele, seuls en mesure d’effacer, en anticipant sans fin, l’extrême menace de voir « un corps rayé » hanter les temps, sans exception ?

Se rappeler, ici, les premières pages du « Journal » de Kafka : « Je priais en rêve la danseuse Eduardowa de bien vouloir danser encore une fois la czardas. Une large bande d’ombre ou de lumière lui coupait le visage entre le bord inférieur du front et le milieu du menton. Juste à ce moment, quelqu’un s’approcha d’elle avec les gestes répugnants de l’intrigant qui s’ignore, pour lui dire que le train partait tout de suite.

A la manière dont elle accueillit cette information, j’eus la terrible certitude qu’elle ne danserait plus. « Je suis une méchante femme, une mauvaise femme, n’est-ce pas ? », dit-elle. – « Oh non, dis-je, pas cela… et je me dis- posai à partir dans n’importe quelle direction… ».

Danser/écrire : ne pas céder aux gestes de l’intrigant qui s’ignore. Tenter cela… en partant et en cherchant dans toutes les directions…

Daniel Dobbels – 4 mai 2016.

 

PROGRAMMATION

SAMEDI 28 MAI 2022

15h00
Schönberg peintre, le corps et la nuit (Kandinsky, Gerstl, Schiele, Kokoshka) (1 h) Conférence par D. Dobbels

« Il faut que ce qui est sans lieu soit astreint à un corps » Merleau-Ponty

16h00
L’ombre du soir – 2018 (30 min)

Chorégraphie : D. Dobbels | Interprétation : C. Quettier Musique : Arnold Schönberg, La nuit
direction Pierre Boulez avec le New-York Philarmonic 2006

Solo dédié à Alain Fleischer et Danielle Schirman

A l’origine il y a cette phrase de Nelly Sachs
«Elle danse, une charge sur les épaules».
«L’ombre du soir ne pèse rien. Elle se place, étroite, étirée, mince comme un fil que l’existence ne peut suivre que par égard, là, entre les masses évidées, que les rêves ont désertées. Ne rien écraser en ce passage limité, dans le temps, dans l’espace.»
D. Dobbels

18h30

Avant-propos par D. Dobbels sur John Coltrane

Double impression – 2020 (16 mm)

Chorégraphie D. Dobbels | Interprétation: C. Quettier Musique : (alternate take) The John Coltrane quartet, Africa Solo dédié à Francis Marmande

Station unaire – 2022 | Création pour Cyclone le studio (30 min)

Co-chorégraphie de Daniel et Carole Dobbels
Musique: John Coltrane, Love Supreme, Live in Seattle (Interlude and Persuance) Solo dédié à Patrick Sandrin

« Pourquoi ne jouez-vous plus autant d’harmoniques qu’il y a quelques mois ? » « Pour le moment j’en ai assez. Les harmoniques sont trop difficiles.
Cela finit toujours par « couiner » »
(Entretien avec John Coltrane, « Je pars d’un point et
je vais le plus loin possible » éd. De L’Éclat)

20h00 | COCKTAIL DÎNATOIRE

 

DIMANCHE 29 MAI 2022

15h
Le corps acéphale, Michaux et la danse (1 h)

Conférence par D. Dobbels
« On préfèrerait dans le secret de soi un corps plus uniquement corps (corps: émouvant infirme)bondissant aveugle, sans tête…» (Michaux, Danse, 1938)

16h
« Mes « soudains » » – 2021 (22 min)

Chorégraphie et interprétation: C. Quettier Musique: Mauricio Kagel par Alexandre Tharaud

« Mes jambes coulaient sous moi… Je me surveillais…Je me savais toujours en danger de me trouver emporté en altitude, sur n’importe quel impossible corps qui se trouverait passer ou se tenir dans l’espace… Fini le solide. Fini le continu et le calme. Une certaine infime danse est partout… Désentravé, débrayé, devenu un être d’une nouvelle espèce, s’oriente vers une nouvelle patrie… plaine ébrieuse de la folie ».
(Henri Michaux, Connaissance par les gouffres)

 

17h30
Avant-propos par D. Dobbels sur Bob Dylan: Wounded Places

It’s alright, Ma (I’m only bleeding), 2022 (8mn)
Under the line, alone, 2016 (30mn)
Chorégraphie D. Dobbels | Interprétation: C. Quettier | Musique : Bob Dylan

« I was thinking of a series of dreams
Where nothing comes up to the top.
Everthings stays down where it’s wounded
And comes to a permanent stop. » (Bob Dylan, Series of dreams)

Corps en tout point en alerte mais aussi – paradoxe irrésolu – sous protection, soucieux des moindres figurations venant le frôler, le traverser, peser sur lui ou l’alléger ou le dispenser d’une peur soudaine (trop sienne). Il n’aurait, en un sens, qu’une tâche : danser de travers mais avec la plus aigüe des précisions (précision qui au- rait comme visée de ne toucher aucun but, de ne rien confondre, de révéler une forme d’osmose séparée de

 

Cyclone le studio
16/18 rue Vulpian
75013 Paris
cyclonelestudio.com

… Celui qui regarde du dehors à travers une fenêtre ouverte, ne voit jamais autant de choses que celui qui regarde une fenêtre fermée. Il n’est pas d’objet plus profond, plus mystérieux, plus fécond plus ténébreux, plus éblouissant qu’une fenêtre éclairée d’une chandelle. Ce qu’on peut voir au soleil est toujours moins intéressant que ce qui se passe derrière une vitre. Dans ce trou noir ou lumineux, vit la vie, rêve la vie, souffre la vie.
Charles Baudelaire

… Nous ne sommes tués que par la vie.
La mort est l’hôte.
Elle délivre la maison de son enclos et la pousse à l’orée du bois.
Soleil jouvenceau, je te vois ; mais là où tu n’es plus.
Qui croit renouvelable l’énigme, la devient.
Escaladant librement l’érosion béante, tantôt lumineux, tantôt obscur, savoir sans fonder sera sa loi.
Loi qu’il observera mais qui aura raison de lui; fondation dont il ne voudra pas mais qu’il mettra en œuvre.
On doit sans cesse en revenir à l’érosion. La douleur contre la perfection.

René Char

Statistiques de l’ “Enbibliothèque Hors-Sol”

Hors-Sol a proposé une enquête à plus de trente lecteurs assidus leur demandant de dresser une liste de quelques livres, deux trois par an, pas davantage, qui, selon eux, étaient appelés à demeurer. La période considérée étant la décennie 2001-2010.

Le texte de l’enquêteLes contributeursLes auteurs citésLes éditeurs cités

Les résultats : 2001200220032004200520062007200820092010

Avec le palmarès de la dixième année, le temps est venu de faire un bilan de cette enquête.

• 16 contributeurs ont participé : éditeurs, chercheurs, libraires, auteurs, traducteurs, modérateurs… Mais vous pouvez aussi faire vos propositions, soit par mail, soit dans les commentaires des années concernées !

• 154 auteurs sont cités (97 francophones et 57 traduits pour 22 nationalités1), pour 176 ouvrages (115 francophones et 61 traductions de 12 langues2).

• Les auteurs avec plus d’un titre unique cité sont au nombre de 25, dont :
19 francophones
— 3 ouvrages cités : Bon, Chevillard, Derrida, Masséra, Volodine ;
— 2 ouvrages cités : Arlix, Bertina, Ch’Vavar, Claro, Echenoz, Fleisher, Jauffret, Kaplan, Mauvignier, Mouawad, Noël, Quignard, Schiffrin, Senges, Vasset ;
6 auteurs traduits (un de l’espagnol [Chili], un du russe, quatre de l’anglais (USA))
— 2 ouvrages cités : Bolaño, DeLillo, Danielewski, Pynchon, Sorokine, Vollman.

• En outre, les auteurs les plus cités (certains livres sont cités par plusieurs contributeurs) sont au nombre de 12, dont :
6 francophones
— auteur cité 5 fois pour 2 ouvrages : Jauffret ;
— auteur cité 4 fois pour 2 ouvrages : Mauvignier ;
— auteurs cités 3 fois pour 2 ouvrages : Emaz, Noël ;
— auteurs cités 2 fois pour 1 ouvrage : Bertina, des Forêts, Jouannais ;
3 auteurs traduits (deux de l’espagnol [Chili et Espagne], deux du russe)
— auteur cité 4 fois pour 2 ouvrages : Bollaño ;
— auteur cité 3 fois pour 2 ouvrages : Sorokine ;
— auteur cité 3 fois pour 1 ouvrage : Vila-Matas ;
— auteur cité 2 fois pour 1 ouvrage : Rosenthal, Soudaïeva, deux femmes !

• Antoine Volodine, Roberto Bollaño, Régis Jauffret et Laurent Mauvignier sont les auteurs cités plus de trois fois.

• Il y a 17 auteurs femmes (13 francophones, 4 non-francophones) soit 11% du contingent.

• Les statistiques concernant les traducteurs, ainsi que leur liste sont en cours d’élaboration. Merci de patienter.

• Il y a 61 éditeurs, plus 4 que nous différencions de leur maison mère (Fiction & Cie > Le Seuil et L’Arablète, L’Arpenteur, Verticales > Gallimard). Les éditeurs les plus cités sont :
— Verticales [Gallimard] : 19 fois
— Gallimard [sans L’Arpenteur, L’Arbalète, Verticales] : 13 fois
— Actes Sud, POL : 12 fois
— Christian Bourgois, Minuit : 11 fois
— Fiction & Cie [Le Seuil] : 10 fois
— Verdier : 9 fois
— Le Seuil [sans Fiction & Cie] : 7 fois
— Galilée : 6 fois3.

Livres 2010

Hors-Sol a proposé une enquête à plus de trente lecteurs assidus leur demandant de dresser une liste de quelques livres, deux trois par an, pas davantage, qui, selon eux, étaient appelés à demeurer. La période considérée étant la décennie 2001-2010.

Le texte de l’enquêteLes contributeursLes auteurs citésLes éditeurs cités

Les résultats : 2001200220032004200520062007200820092010

Quelle belle année que 2010 ! Vingt-deux livres ont été cités, parmi lesquels dix-huit fictions (huit françaises et dix traductions) et quatre essais francophones.

Fiction

Domaine francophone (ordre alphabétique des auteurs)


Patrick Chatelier, Pas le bon, pas le truand, Verticales | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Benoît Vincent



Eric Chevillard, Choir, Minuit | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Benoît Vincent



Claro, Cosmoz, Actes Sud | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Hugues Robert



Jérôme Ferrari, Où j’ai laissé mon âme, Actes Sud | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Raymond Penblanc



Maylis de Kerangal, Naissance d’un pont, Verticales | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Charles Robinson



Mathieu Larnaudie, Acharnement, Actes Sud | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Hugues Robert



Bernard Noël, Les plumes d’Eros (Œuvres, I), POL | lien éditeur | lien auteurs
Contribution de Stéphane Bikialo



Pierre Senges, Etudes de silhouettes, Verticales | lien éditeur | lien auteurs
Contribution de Benoît Vincent

 

Domaine étranger (ordre alphabétique des auteurs)


John Ashbery (), Trois poemes, traduction de Franc André Jamme, Al Dante | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Christophe Manon



Bernardo Carvalho (), ’Ta mère, traduction de Geneviève Leibrich, Métailié | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Raymond Penblanc



James Ellroy (), Underworld USA, traduction de Jean-Paul Gratias, Payot-Rivages | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Christophe Manon



Reinhard Jirgl (), Roman du temps nerveux, traduction de Martine Rémon, Quidam | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Charles Robinson



Thomas Pynchon (), Vice caché, traduction de Nicolas Richard, Fiction & Cie | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Charles Robinson



Ramón Sender (), Requiem pour un paysan espagnol, suivi de Le Gué, traduction de Jean-Paul Cortada (Requiem) et de Jean-Pierre Ressot (Le Gué), Attila | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Benoît Vincent



Iain Sinclair (), London Orbital, traduction de Maxime Berrée et Barbara Schmidt, Inculte | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Benoît Vincent



Vladimir Sorokine (), Roman, traduction d’Anne Coldefy-Faucard, Verdier | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Christophe Manon et Nicolas Vivès



Jón Kalman Stefánsson (), Entre ciel et terre [Himnaríki og helvíti], traduction de l’islandais par Éric Boury, Gallimard | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Raymond Penblanc



Paul Verhaegen (), Omega Mineur, traduit par Claro, Le Cherche-Midi | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Hugues Robert

§

Essais

Domaine francophone (ordre alphabétique des auteurs)


Augustin Berque, Milieu et identité humaine. Pour un dépassement de la modernité, Donner lieu | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Benoît Vincent



Eric Arlix et Jean-Charles Massera, Le guide du démocrate, Lignes | lien éditeur | lien auteurs
Contribution de Stéphane Bikialo



Alain Schiffrin, L’argent et les mots, La Fabrique | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Stéphane Bikialo



Frédéric Lordon, Capitalisme, désir et servitude. Marx et Spinoza, La Fabrique | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Benoît Vincent

 

Domaine traduit

Pas de proposition

Livres 2009

Hors-Sol a proposé une enquête à plus de trente lecteurs assidus leur demandant de dresser une liste de quelques livres, deux trois par an, pas davantage, qui, selon eux, étaient appelés à demeurer. La période considérée étant la décennie 2001-2010.

Le texte de l’enquêteLes contributeursLes auteurs citésLes éditeurs cités

Les résultats : 2001200220032004200520062007200820092010

Quelle belle année que 2009 ! Quatorze livres ont été cités, parmi lesquels neuf fictions (quatre françaises et cinq traductions) et cinq essais francophones.

Fiction

Domaine francophone (ordre alphabétique des auteurs)


Philippe Annocque, Liquide, Quidam | lien éditeur
Contribution de Hugues Robert



Nathalie Constant, La reformation des Imbéciles, Le Chemin de Fer | lien éditeur
Contribution de Benoît Vincent



Laurent Mauvignier, Des hommes, Minuit | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Stéphane Bikialo et Raymond Penblanc



Vincent Message, Les veilleurs, Le Seuil | lien éditeur
Contribution de Hugues Robert

Domaine étranger (ordre alphabétique des auteurs)


Gerbrand Bakker (), Là-haut tout est calme, traduit par Bertrand Abraham, Gallimard | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Raymond Penblanc



Richard Bausch (), Paix, traduit par Jamila Ouahmane Chauvin, Gallimard | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Raymond Penblanc



Jaume Cabré (), Les voix du Pamano, traduit par Bernard Lesfargues, Christian Bourgois | lien éditeur
Contribution de Nicolas Vives



Valerio Evangelisti (), La coulée de feu, traduit par Serge Quadruppani, Métailié | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Hugues Robert



Charles Olson (), Les poèmes de Maximus [1983], traduit par Auxeméry, La Nerthe | lien éditeur
Contribution de Charles Robinson

§

Essais

Domaine francophone (ordre alphabétique des auteurs)


Claro, Le clavier cannibale, Inculte | lien éditeur | lien éditeur
Contribution de Benoît Vincent



Vinciane Despret (), Penser comme un rat, Quae | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Charles Robinson



Antoine Emaz, Cambouis, Le Seuil | lien éditeur
Contribution de Stéphane Bikialo et Martin Rass



Jean-Yves Jouannais, Artistes sans œuvres, Verticales | lien éditeur
Contribution de Hugues Robert et Benoît Vincent



Jean-Charles Massera, We are l’Europe, Verticales | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Stéphane Bikialo


Domaine francophone

Pas de proposition

Livres 2008

Hors-Sol a proposé une enquête à plus de trente lecteurs assidus leur demandant de dresser une liste de quelques livres, deux trois par an, pas davantage, qui, selon eux, étaient appelés à demeurer. La période considérée étant la décennie 2001-2010.

Le texte de l’enquêteLes contributeursLes auteurs citésLes éditeurs cités

Les résultats : 2001200220032004200520062007200820092010

Quelle belle année que 2008 ! Vingt livres ont été cités, parmi lesquels dix-neuf fictions (onze françaises et huit traductions) et un essai (une traduction) .

Fiction

Domaine francophone (ordre alphabétique des auteurs)


Lutz Bassman, Avec les moines soldats, Verdier | lien éditeur
Contribution de Martin Rass



Philippe-Marie Bernadou, Cadaquès, aller simple, L’Arpenteur | lien éditeur
Contribution de Caroline Gérard



Jean-Baptiste Del Amo, Une éducation libertine, Gallimard | lien éditeur
Contribution de Raymond Penblanc



Jean Echenoz, Courir, Minuit | lien éditeur
Contribution de Nicolas Vivès



Mathias Enard, Zone, Actes Sud | lien éditeur
Contribution de Hugues Robert



Léo Henry & Jacques Mucchielli, Yama Loka Terminus, Dystopia | lien éditeur
Contribution de Hugues Robert



Régis Jauffret Lacrimosa, Gallimard | lien éditeur
Contribution de Benoît Vincent



Leslie Kaplan, Toute ma vie j’ai été une femme, POL | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Stéphane Bikialo



Émilie Notéris, Cosmic trip, IMHO | lien auteur
Contribution de Charles Robinson



Boualem Sansal (), Le village de l’allemand , Gallimard | lien éditeur
Contribution de Raymond Penblanc



Pierre Senges, Fragments de Lichtenberg, Verticales | lien éditeur
Contribution de Benoît Vincent

Domaine étranger (ordre alphabétique des auteurs)


Roberto Bolaño (), 2666, Christian Bourgois | lien éditeur
Contribution de Caroline Gérard , Hugues Robert et Nicolas Vivès



Forough Farrokhzad (), La conquête du jardin, traduit par Sylvie Miller ?, Lettres Persanes | lien éditeur
Contribution de Charles Robinson



Vassili Golovanov (), Eloge des voyages insensés, traduit par Hélène Châtelain, Verdier | lien éditeur
Contribution de Benoît Vincent



Cormac McCarthy (), La Route, traduit par François Hirsch, L’Olivier | lien éditeur
Contribution de Christophe Manon



Friederike Mayröcker (), Brütt ou Les Jardins soupirants, traduction Françoise David-Schaumann et Hugo Hengl, L’Atelier de l’Agneau | lien éditeur
Contribution de Christophe Manon



Christoph Ransmayr (), La Montagne volante, traduction Bernard Kreiss, Albin Michel | lien éditeur
Contribution de Christophe Manon



Thomas Pynchon (), Contre-jour, traduction Claro, Le Seuil | lien éditeur
Contribution de Martin Rass



José Saramago (), Les intermittences de la mort, traduit par Geneviève Leibrich, Le Seuil | lien éditeur
Contribution de Raymond Penblanc


§

Essais

Domaine francophone (ordre alphabétique des auteurs)

Pas de sélection.

Domaine étranger (ordre alphabétique des auteurs)


Coco Fusco (), Petit manuel à l’usage des femmes-soldats, traduit par François Cusset, Les Prairies Ordinaires
| lien éditeur
Contribution de Charles Robinson

Livres 2007

Hors-Sol a proposé une enquête à plus de trente lecteurs assidus leur demandant de dresser une liste de quelques livres, deux trois par an, pas davantage, qui, selon eux, étaient appelés à demeurer. La période considérée étant la décennie 2001-2010.

Le texte de l’enquêteLes contributeursLes auteurs citésLes éditeurs cités

Les résultats : 2001200220032004200520062007200820092010

Quelle belle année que 2007 ! Dix-huit livres ont été cités, parmi lesquels treize fictions (neuf françaises et quatre traductions) et cinq essais (quatre français et une traduction).

Fiction

Domaine francophone (ordre alphabétique des auteurs)


Nicole Caligaris, Okosténie, Verticales | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Benoît Vincent



DOA, Citoyens clandestins, Gallimard | lien éditeur
Contribution de Hugues Robert



Pierre Guyotat, Formation, Gallimard | lien éditeur
Contribution de Raymond Penblanc



Hugues Jallon, Zone de combat, Verticales | lien éditeur
Contribution de Hugues Robert



Emmmanuelle Pagano, Les adolescents troglodytes, POL | lien éditeur
Contribution de Raymond Penblanc



Christian Prigent, Demain je meurs, POL | lien éditeur
Contribution de Stéphane Bikialo



Olivia Rosenthal, On n’est pas là pour disparaître, Verticales | lien éditeur
Contribution de Stéphane Bikialo et Martin Rass


Pierre Silvain, Julien Letrouvé, colporteur, Verdier | lien éditeur
Contribution de Raymond Penblanc



Philippe Vasset, Un livre blanc, Fayard | lien éditeur
Contribution de Benoît Vincent



Antoine Volodine, Songes de Mevlido, Le Seuil | lien éditeur
Contribution de Nicolas Vivès


§

Domaine étranger (ordre alphabétique des auteurs)


Mark Z. Danielewski (), O Révolutions, traduit par Claro, Denoël | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Charles Robinson



William Gaddis (), Agonie d’agapè [2002], Le Serpent à Plumes† (repris chez Plon)
Contribution de Benoît Vincent



Vladimir Sorokine (), Le lard bleu [1999], traduit par Bernard Kreise, L’Olivier | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Hugues Robert



William T. Vollmann (), Central Europe, traduit par Claro, Actes Sud | lien éditeur
Contribution de Nicolas Vivès

Essais

Domaine francophone (ordre alphabétique des auteurs)


Bernard Marcadé, Marcel Duchamp, Flammarion | lien éditeur
Contribution de Caroline Gérard



Jean-Claude Michéa, L’empire du moindre mal. Essai sur la civilisation libérale, Climats (Flammarion) | lien éditeur
Contribution de Benoît Vincent



Julien Prévieux, Lettres de non-motivation, Zones | lien éditeur
Contribution de Charles Robinson



Edouard Glissant, Une nouvelle région du monde, Gallimard | lien éditeur
Contribution de Nicolas Vivès



Jacques Rancière, Politique de la littérature, Gallilée | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Martin Rass



Christian Salmon, Storytelling. La Machine à fabriquer des histoires et à formater les esprits, La Découverte | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Stéphane Bikialo


§

Domaine étranger (ordre alphabétique des auteurs)


Fredric Jameson (), Archéologies du futur, traduit par Nicola Vieillescazes et Fabien Ollier, Max Milo | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Hugues Robert

Livres 2006

Hors-Sol a proposé une enquête à plus de trente lecteurs assidus leur demandant de dresser une liste de quelques livres, deux trois par an, pas davantage, qui, selon eux, étaient appelés à demeurer. La période considérée étant la décennie 2001-2010.

Le texte de l’enquêteLes contributeursLes auteurs citésLes éditeurs cités

Les résultats : 2001200220032004200520062007200820092010

Quelle belle année que 2006 ! Dix-huit livres ont été cités, parmi lesquels quatorze fictions (neuf françaises et cinq traductions) et quatre essais français.

Fiction

Domaine francophone (ordre alphabétique des auteurs)


Arno Bertina, Anima motrix, Verticales | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Martin Rass et Benoît Vincent


Arno Bertina, Bastien Gallet, Ludovic Michaux, Yoan de Roeck, Anastylose, Fage | lien éditeur | lien auteurs
Contribution de Benoît Vincent


François Bon, Tumulte, Fayard | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Benoît Vincent


Eric Chevillard, Démolir Nisard, Minuit | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Quentin Leclerc


Antoine Emaz, Caisse claire, Points | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Stéphane Bikialo


Laurent Mauvignier, Dans la foule, Minuit | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Joachim Séné et Stéphane Bikialo


Emmanuelle Pireyre, Comment faire disparaître la terre, Le Seuil | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Charles Robinson


Sylvain Trudel, La mer de l’intranquillité, Les Allusifs | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Raymond Penblanc


François Vallejo, Ouest, Viviane Hamy | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Raymond Penblanc


§

Domaine étranger (ordre alphabétique des auteurs)


Rodrigo Fresán (), Mantra [2001], traduit par Isabelle Gugnon, Passages du Nors-Ouest | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Hugues Robert


Ian McEwan (), Samedi [2005], traduit par France Camus-Pichon, Gallimard | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Nicolas Vivès


Haruki Murakami (), Kafka sur le rivage, traduit par Corinne Atlan, Belfond | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Raymond Penblanc


Jack Spicer (), C’est mon vocabulaire qui m’a fait ça, traduction Éric Suchère, Le Bleu du Ciel | lien éditeur
Contribution de Benoît Vincent


William T. Vollmann (), Les fusils, traduit par Claro, Le Cherche-Midi | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Hugues Robert

Essais

Domaine francophone (ordre alphabétique des auteurs)


Jacques Derrida, L’animal que donc je suis, Galilée | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Martin Rass


François Dubet, Injustices, Seuil | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Stéphane Bikialo


Eric Hazan, LQR. La propagande au quotidien, Liber-Raisons d’agir | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Stéphane Bikialo


Lionel Naccache, Le nouvel inconscient, Odile Jacob | lien éditeur
Contribution de Charles Robinson


§

Domaine étranger (ordre alphabétique des auteurs)

Pas de proposition.

Livres 2005

Hors-Sol a proposé une enquête à plus de trente lecteurs assidus leur demandant de dresser une liste de quelques livres, deux trois par an, pas davantage, qui, selon eux, étaient appelés à demeurer. La période considérée étant la décennie 2001-2010.

Le texte de l’enquêteLes contributeursLes auteurs citésLes éditeurs cités

Les résultats : 2001200220032004200520062007200820092010

Quelle belle année que 2005 ! Quinze livres ont été cités, parmi lesquels douze fictions (neuf françaises et quatre traductions) et deux essais français.

Fiction

Domaine francophone (ordre alphabétique des auteurs)


Éric Arlix, Le monde Jou, Verticales | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Charles Robinson



Ken Bugul, Rue Félix-Faure, Hoëbeke | lien éditeur
Contribution de Hugues Robert



Henri Chopin, Graphe-Machines, IKKO (†)
Contribution de Christophe Manon



Ivar Ch’Vavar, Cadavre grand m’a raconté, Le Corridor bleu | lien éditeur
Contribution de Christophe Manon



Catherine Dufour, Le goût de l’immortalité, Mnémos | lien éditeur
Contribution de Hugues Robert



Sylvie Germain, Magnus, Albin-Michel | lien éditeur
Contribution de Raymond Penblanc



Édouard Levé, Autoportrait, POL | lien éditeur
Contribution de Charles Robinson



Claude Louis-Combet, Les errances Druon, José Corti | lien éditeur
Contribution de Raymond Penblanc



Pascal Quignard, Ecrits de l’éphémère, Galilée | lien éditeur
Contribution de Benoît Vincent



Eugène Savitzkaya, Fou trop poli, Minuit | lien éditeur
Contribution de Martin Rass

§

Domaine étranger (ordre alphabétique des auteurs)


Brian Evenson (), Contagion [2000], traduit par Claro, Le Cherche-Midi | lien éditeur
Contribution de Hugues Robert



Daniil Harms (), Œuvres en prose et en vers [-], traduction Yvan Mignot, Verdier | lien éditeur
Contribution de Christophe Manon



Kenzaburō Ōe (), Le faste des morts [1957], traduit par René de Ceccatty et Ryôji Nakamura, Gallimard | lien éditeur
Contribution de Raymond Penblanc



Fausto Paradivino (), Peanuts : Gênes 01, trad. de Philippe Di Meo, L’Arche | lien éditeur
Contribution de Stéphane Bikialo


Essais

Domaine francophone (ordre alphabétique des auteurs)


Antoine d’Agata, Psychogéographie, Le Point du Jour | lien éditeur
Contribution de Charles Robinson



Alain Schiffrin, Le contrôle de la parole, La Fabrique | lien éditeur
Contribution de Stéphane Bikialo


§

Domaine étranger (ordre alphabétique des auteurs)

Pas de sélection.

Livres 2004

Hors-Sol a proposé une enquête à plus de trente lecteurs assidus leur demandant de dresser une liste de quelques livres, deux trois par an, pas davantage, qui, selon eux, étaient appelés à demeurer. La période considérée étant la décennie 2001-2010.

Le texte de l’enquêteLes contributeursLes auteurs citésLes éditeurs cités

Les résultats : 20012002200320042005200620072008200920102011

Quelle belle année que 2004 ! Quinze livres ont été cités, parmi lesquels douze fictions (huit françaises et quatre traductions) et trois essais français.

Fiction

Domaine francophone (ordre alphabétique des auteurs)


Jean-Christophe Bailly, Tuiles détachées, Mercure de France | lien éditeur
Contribution de Martin Rass



François Bon, Daewoo, Fayard | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Stéphane Bikialo



Ivar Ch’Vavar, Hölderlin au mirador, Le Corridor bleu | lien éditeur
Contribution de Christophe Manon



Alain Damasio, La horde du contrevent, La Volte | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Hugues Robert



Alain Fleisher, La hache et le violon, Le Seuil | lien éditeur
Contribution de Raymond Penblanc



Frédéric Mora, La nuit des nuits, Le Seuil | lien éditeur
Contribution de Benoît Vincent



Onuma Nemon, Quartiers de ON !, Verticales | lien éditeur | lien auteur
Contribution de Charles Robinson



Jean-Pierre Siméon, Sermons joyeux (De la lente corruption des âmes dans la nuit tombante), Les Solitaires intempestifs | lien éditeur
Contribution de Stéphane Bikialo


§

Domaine étranger (ordre alphabétique des auteurs)


Rick Bass (), L’Ermite, traduit par par Anne Wicke, Christian Bourgois | lien éditeur
Contribution de Charles Robinson



Javier Cercas (), Les soldats de Salamine, traduit par Elisabeth Beyer & Aleksandar Grujicic, Actes Sud | lien éditeur
Contribution de Raymond Penblanc



Percival Everett (), Effacement, traduit par Anne-Laure Tissut, Actes Sud | lien éditeur
Contribution de Hugues Robert




Carmen Laforet (), Nada [1944], traduit par Marie-Madeleine Peignot et Mathilde Pomès, Bartillat | lien éditeur
Contribution de Raymond Penblanc



Maria Soudaïeva (), Slogans, traduit par Antoine Volodine, Editions de l’Olivier | lien éditeur
Contribution de Christophe Manon & Hugues Robert

Essais

Domaine francophone (ordre alphabétique des auteurs)


Christophe Bident, Pierre Vilar, Maurice Blanchot – Récits critiques, Léo Scheer | lien éditeur
Contribution de Benoît Vincent



Francis Hallé, Eloge de la plante. Pour une nouvelle biologie, Le Seuil [1999, édition de poche] | lien éditeur
Contribution de Benoît Vincent



Gilles Kepel, Fitna. Guerre au cœur de l’Islam, Gallimard | lien éditeur
Contribution de Benoît Vincent



Clément Rosset, Le réel. Traité de l’idiotie, Minuit [1978, réédition poche] | lien éditeur
Contribution de Charles Robinson


§

Domaine francophone (ordre alphabétique des auteurs)

Pas de sélection.